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Ce qui a occasionné la fermeture des églises Ce poème n'est pas une dédicace À cette pandémie, C'est plutôt une voix basse Qui crie contre cet ennemi. Je crois que c'est pour la première fois Depuis le départ du Christ Que nous assistons vous et moi À une telle fermeture des lieux des cultes. Ce virus qui a occasionné La fermeture des églises Ne doit pas se faire couronner Donc il faut qu'on le brise. Serviteur du Seigneur C'est maintenant le temps De passer en prière Afin de détruire cette oeuvre de Satan. Bientôt on en parlera plus Et quand nous lirons ce poème, Ceci ne servira plus Qu'à louer notre roi suprême.

Fais de moi ce que tu voudras *F* Fais de moi ce que tu voudras *A* Arrange-moi, façonne-moi, *I* Inonde ma vie de ta présence *S* Sonde et affermis mes sens. *D* De tous les êtres, de toutes les vies *E* En toi seul réside la vraie vie. *M* Ma vie, je te la recommande *O* Offrant mon coeur comme une offrande, *I* Inonde mon esprit, telle est ma demande. *C* Car mon âme a soif de toi *E* Et ne désire adorer que toi. *Q* Que ton règne vienne *U* Ultime Prince, viens et règne, *E* En toi il n'y a point de peine. *T* Ta présence recouvre les cieux *U* Ultime Prince je te veux. *V* Veux-tu une offrande? *O* Oh! Dis-moi ce que tu demandes, *U* Unis-moi à ta pensée *D* De sorte que je sache ta volonté, *R* Redoutable en puissance, *A* Adoration et puissance *S* Soient rendues à ta glorieuse présence.